Perdre pied ou comment résister lorsque tout semble parti pour vous échapper ?.
Happé par des vents favorables mais où se dresse devant soi une ligne qui, une fois franchie peut nous désaxer sans crier garde et d’on on ne revient pas totalement clair.
Dépossédé de soi, se voir retirer un morceau d’âme, le voir de ses propres yeux, le sentir dans sa chair en total état de conscience, le constater bien tristement et se questionner quand vient la nuit, où reviennent alors en mémoire certaines expropriations de ses propres terres évidemment peu classieuses dont on est quelquefois la victime.
Donne moi un morceau de toi !, ainsi je paraitrai, je serais, je respirerai.. Ah si tu savais... Mon souffle est lyrique.. Puis quel morceau d’âme a fonction de pouvoir et de puissance ?. Cela se situe t'il cerveau gauche, cerveau droit, côté méridien poumon, estomac ?. J'ai tout à apprendre.
Faut t'il laisser mes empreintes, passer inaperçu ? . Laisser ses empreintes c’est aussi accepter les règles du jeu, s’accrocher très fort à ce qu’on identifie en nous d’inébranlable, totalement authentique et prendre la vague, frontal, épouser la mer d'huile sans jamais perdre de vue les contres-courants, ces derniers aux bienfaits maintes fois prouvés dont la qualité consiste à nous ramener systématiquement à la raison lorsque l'on manque de s'égarer dans le grotesque voire l'abject. Parce qu'on ne peut jamais jurer de rien dans la vie.
En nous garantissant la liberté éternelle, c'est un pacte, une chose inviolable qu'on s'assure à soi-même.
Ne pas vouloir être un mirage, souhaiter du sens mais se risquer à ce que la note soit salée, c'en est peut-être la règle du jeu...
Si le courant nous emporte, il ne faut pas en avoir peur. La vie n'est avant tout pas sérieuse.
Happé par des vents favorables mais où se dresse devant soi une ligne qui, une fois franchie peut nous désaxer sans crier garde et d’on on ne revient pas totalement clair.
Dépossédé de soi, se voir retirer un morceau d’âme, le voir de ses propres yeux, le sentir dans sa chair en total état de conscience, le constater bien tristement et se questionner quand vient la nuit, où reviennent alors en mémoire certaines expropriations de ses propres terres évidemment peu classieuses dont on est quelquefois la victime.
Donne moi un morceau de toi !, ainsi je paraitrai, je serais, je respirerai.. Ah si tu savais... Mon souffle est lyrique.. Puis quel morceau d’âme a fonction de pouvoir et de puissance ?. Cela se situe t'il cerveau gauche, cerveau droit, côté méridien poumon, estomac ?. J'ai tout à apprendre.
Faut t'il laisser mes empreintes, passer inaperçu ? . Laisser ses empreintes c’est aussi accepter les règles du jeu, s’accrocher très fort à ce qu’on identifie en nous d’inébranlable, totalement authentique et prendre la vague, frontal, épouser la mer d'huile sans jamais perdre de vue les contres-courants, ces derniers aux bienfaits maintes fois prouvés dont la qualité consiste à nous ramener systématiquement à la raison lorsque l'on manque de s'égarer dans le grotesque voire l'abject. Parce qu'on ne peut jamais jurer de rien dans la vie.
En nous garantissant la liberté éternelle, c'est un pacte, une chose inviolable qu'on s'assure à soi-même.
Ne pas vouloir être un mirage, souhaiter du sens mais se risquer à ce que la note soit salée, c'en est peut-être la règle du jeu...
Si le courant nous emporte, il ne faut pas en avoir peur. La vie n'est avant tout pas sérieuse.
Si tu savais mon cœur… rien
Si tu savais mes yeux… rien
Si tu savais mes mains… rien
Si tu savais mes reins… rien
Si tu savais mes jambes… rien
Si tu savais mes bras… rien
Si tu savais mon ventre… rien
Si tu savais mes fesses… rien
Mais si seulement tu savais… la taille de mon âme
Si seulement tu savais
La taille de mon âme, mais
Si seulement tu savais
La taille de mon âme
Si tu savais mes hanches… rien
Si tu savais mes lèvres… rien
Si tu savais mes cris… rien
Si tu savais mes jours… rien
Si tu savais mes nuits… rien
Si tu savais mes rêves… rien
Si tu savais mes rires… rien
Si tu savais mes joies… rien
Mais si seulement tu savais la taille de mon âme…
Si seulement tu savais
La taille de mon âme, mais
Si seulement tu savais
La taille de mon âme
Si seulement tu savais
La taille de mon âme, mais
Si seulement tu savais
La taille de mon âme
Si tu savais mon cœur… rien
"La taille de mon âme" / Daniel DARC
Si tu savais mes yeux… rien
Si tu savais mes mains… rien
Si tu savais mes reins… rien
Si tu savais mes jambes… rien
Si tu savais mes bras… rien
Si tu savais mon ventre… rien
Si tu savais mes fesses… rien
Mais si seulement tu savais… la taille de mon âme
Si seulement tu savais
La taille de mon âme, mais
Si seulement tu savais
La taille de mon âme
Si tu savais mes hanches… rien
Si tu savais mes lèvres… rien
Si tu savais mes cris… rien
Si tu savais mes jours… rien
Si tu savais mes nuits… rien
Si tu savais mes rêves… rien
Si tu savais mes rires… rien
Si tu savais mes joies… rien
Mais si seulement tu savais la taille de mon âme…
Si seulement tu savais
La taille de mon âme, mais
Si seulement tu savais
La taille de mon âme
Si seulement tu savais
La taille de mon âme, mais
Si seulement tu savais
La taille de mon âme
Si tu savais mon cœur… rien
"La taille de mon âme" / Daniel DARC