« This is the END ». Une chanson interprétée par la voix profonde d'Adèle dont voici ses premiers mots.
Je pense que tout peut avoir une fin dans la vie pour recommencer ailleurs, sous d’autres cieux, en somme différemment. Ces fins peuvent sévir dans tous les domaines qu’ils soient amoureux, professionnels, amicaux..
Ces cycles et les grands mystères jamais élucidés; c’en est le jeu; que la vie renferme me fascineront toujours.
La fin apparaît souvent sous des connotations négatives. Peut-être surtout dans nos sociétés occidentales d’ailleurs, encroûtées dans certains principes et mauvaises croyances. Loin de moi d’ignorer l’idée même si je déplore de plus en plus souvent aujourd’hui tout ce trop plein de force à servir le négatif. Cela est encore un autre sujet.
La fin, si on n’en meurt pas peut aussi parfois être une délivrance, un renouveau. On se déleste d’une certaine peau qui commençait à nous gêner pour les raisons qui nous sont propres puis on s’envole ailleurs, vers des contrées assurément meilleures. La chenille devient papillon, c’est l’image la plus claire dans mon esprit.
La fin n’est ainsi donc pas strictement réservée à la mort. Il y a tant d’autres fins à explorer tant que la santé nous est donnée. Encore faut t’il réussir à la digérer, accepter aussi le temps que cela va prendre, pour ensuite s’en servir pour rebondir. Une perche tendue par un ange bien discret dans le cours normal de notre existence mais très présent dans ces moments charnières.
L’ange devient omniprésent mais ce dernier sera toujours là pour notre plus grand bien.
A chacun son ange, qu’il soit imaginaire ou bien réel.
« Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ». Mes pensées vont vers tous.
Je pense que tout peut avoir une fin dans la vie pour recommencer ailleurs, sous d’autres cieux, en somme différemment. Ces fins peuvent sévir dans tous les domaines qu’ils soient amoureux, professionnels, amicaux..
Ces cycles et les grands mystères jamais élucidés; c’en est le jeu; que la vie renferme me fascineront toujours.
La fin apparaît souvent sous des connotations négatives. Peut-être surtout dans nos sociétés occidentales d’ailleurs, encroûtées dans certains principes et mauvaises croyances. Loin de moi d’ignorer l’idée même si je déplore de plus en plus souvent aujourd’hui tout ce trop plein de force à servir le négatif. Cela est encore un autre sujet.
La fin, si on n’en meurt pas peut aussi parfois être une délivrance, un renouveau. On se déleste d’une certaine peau qui commençait à nous gêner pour les raisons qui nous sont propres puis on s’envole ailleurs, vers des contrées assurément meilleures. La chenille devient papillon, c’est l’image la plus claire dans mon esprit.
La fin n’est ainsi donc pas strictement réservée à la mort. Il y a tant d’autres fins à explorer tant que la santé nous est donnée. Encore faut t’il réussir à la digérer, accepter aussi le temps que cela va prendre, pour ensuite s’en servir pour rebondir. Une perche tendue par un ange bien discret dans le cours normal de notre existence mais très présent dans ces moments charnières.
L’ange devient omniprésent mais ce dernier sera toujours là pour notre plus grand bien.
A chacun son ange, qu’il soit imaginaire ou bien réel.
« Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ». Mes pensées vont vers tous.
Crédit Photo / Richard DUMAS. Actuellement à la Galerie VU'-Paris 9 jusqu'au 19 janvier 2013.